Comment écrire un bon début d'histoire
# 27 - ... et que votre "monde ordinaire" ne soit pas pépère
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Bienvenue dans ce numéro 27 de tchik tchak !
Pour rappel, tchik tchak c’est la newsletter sur l’écriture avec des solutions & des idées. Elle s’adresse à tous ceux qui sont curieux et qui veulent écrire, professionnellement ou non, que ce soit des histoires ou des scénarios.
Avant-propos : Cette exploration sur les points de structure à ne pas louper est scindée en quatre parties :
Comment écrire un bon début d'histoire
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En un coup d’oeil :
Le piège du monde ordinaire
Trois astuces pour enlever le pépère de l’ordinaire
La boîte à inspirations avec plein de récits qui donnent de l’espoir et des idées de geeks
Avant-propos : il y a autant de propositions de structures dramatiques que d’écrivain·es, même si les plus connues sont celles en 3, 4 ou 5 actes, mais là encore il y a les méthodes de Joseph Campbell, Blake Snyder, Kurt Vonnegut, etc etc. Mais c’est comme pour les routines : l’idée est de voir celle qui vous parle le plus.
Pour cette première virée de tchik tchak dans le monde de la structure, je vais donc m’appuyer sur une de celles que j’utilise le plus pour bâtir l’intrigue, celle de Tom Vaughan. Peut-être que dans de futurs numéros on fera des expériences sur les autres structures existantes, comme ça vous pourrez voir les différences et ce qui vous convient le mieux.
Aujourd’hui on va s’intéresser à la partie verte du dessin, appelée “monde ordinaire”, ou encore “phase d’exposition”, c’est-à-dire la vie de votre personnage avant que l’élément déclencheur vienne tout chambouler.
Une erreur courante durant ces 5-10 premières pages, c’est de confondre ordinaire avec pépère, et cela pour deux raisons (enfin peut-être plus mais deux c’est déjà pas mal) :