Tu viens d’ouvrir une nouvelle porte dans mon cerveau. Si ce que j’écris comme un exorcisme était finalement de la matière sans être un brouillon. Des germes d’histoires.
Ça me fait revoir mes tracas de manière plus positive et c’est déjà un bon point pour ce samedi matin 🙏
Je dois dire que transformer « mon père » en « l’homme à la salopette » est une bien bonne idée pour mettre un peu de distance entre un sujet hautement épidermique et l’écriture. C’est génial.
Je crois que je n’ose pas encore assez dans mes romans. Je ne vais pas assez loin dans l’exploration de mes fantômes, c’est quelque chose que je sens, comme si je n’étais pas capable de me jeter dans le grand bain.
Merci pour cette lettre comme d'habitude hyper claire et utile ! J'ai hésité entre les réponses 3 et 4 de ton sondage, j'ai choisi la 3 mais la 4 m'intéresse beaucoup aussi (je préfère le préciser) 👀👀
J'aime beaucoup ton approche du sujet et tes dessins!
J'ai reçu beaucoup d'échos à ma propre manière d'envisager l'écriture : j'écris beaucoup/essentiellement avec mes fantômes 😅, c'est comme une manière de tenter une approche progressive de communication avec eux. Un peu comme explorer les parcelles de vie qui vont réanimer un terrain mort tout en laissant mourir ce qui doit mourir. S'inscrire dans un cycle.
J'ai bien un fantôme qui ne demande qu'à sortir depuis de nombreuses années, mais c'est un sujet tellement compliqué... Pendant 10 ans, j'ai vécu un traumatisme profond avec mon ex-conjoint, j'ai vécu l'enfer, avant que mon mari ne débarque dans ma vie et me sauve. Notre histoire commune et individuelle est digne d'un scénario, je le sais, d'autant plus que je suis lourdement handicapée. Et je rêve d'en faire un roman depuis si longtemps, mais je n'ai aucune idée de comment récupérer les éléments les plus importants de tout ce qui s'est passé pour chacun de nous deux (d'autant plus que j'écris de la SFFF en temps normal et que c'est très difficile de sortir de ça).
En tout cas, merci pour ta newsletter, une fois encore, ça ne fait que nourrir un peu plus cette envie...
Peut-être que cette idée est encore dans la catégorie « à laisser mûrir » ?
Et quand tu le sentiras tu pourras te demander : pourquoi sortir de la SFFF pour raconter cette histoire ? N’y a-t-il pas des changements de cadre ou même de perspectives qui pourraient t’inspirer ? 😊
Malediction du sondage bouclé ! Je re-vote pour les fins ouvertes, même si j’ai beaucoup aimé cette séance de spiritisme. La question d’écrire sur ses proches ou des gens vivants me questionne beaucoup en ce moment. Coïncidence, j’ai lu ceci récemment dans « Le cœur ne cède pas » de Grégoire Bouillier « Coucher les gens sur le papier contre leur gré, ce n’est pas seulement voler leur vie, c’est les coucher dans une tombe qui n’est pas la leur. » le déplacement que tu propose me paraît un chemin de traverse intéressant à explorer.
Tu viens d’ouvrir une nouvelle porte dans mon cerveau. Si ce que j’écris comme un exorcisme était finalement de la matière sans être un brouillon. Des germes d’histoires.
Ça me fait revoir mes tracas de manière plus positive et c’est déjà un bon point pour ce samedi matin 🙏
J’en suis heureuse ! 🙌🏻
Je dois dire que transformer « mon père » en « l’homme à la salopette » est une bien bonne idée pour mettre un peu de distance entre un sujet hautement épidermique et l’écriture. C’est génial.
Je crois que je n’ose pas encore assez dans mes romans. Je ne vais pas assez loin dans l’exploration de mes fantômes, c’est quelque chose que je sens, comme si je n’étais pas capable de me jeter dans le grand bain.
Merci pour la méthode de plongeon progressif ;)
Et merci pour ta recommandation Pauline ☺️🙏
J’espère que ces petites techniques permettront que l’exercice soit moins douloureux 😌 😘
Merci pour cette lettre comme d'habitude hyper claire et utile ! J'ai hésité entre les réponses 3 et 4 de ton sondage, j'ai choisi la 3 mais la 4 m'intéresse beaucoup aussi (je préfère le préciser) 👀👀
C'est noté 😅😘
Très chouette et intéressante cette lettre!
J'aime beaucoup ton approche du sujet et tes dessins!
J'ai reçu beaucoup d'échos à ma propre manière d'envisager l'écriture : j'écris beaucoup/essentiellement avec mes fantômes 😅, c'est comme une manière de tenter une approche progressive de communication avec eux. Un peu comme explorer les parcelles de vie qui vont réanimer un terrain mort tout en laissant mourir ce qui doit mourir. S'inscrire dans un cycle.
Ne plus être hanté, devenir habité.
Merci pour ce travail inspirant et de qualité.
C’est très bien résumé 👌🏻😙
Et merci à toi !
J'ai bien un fantôme qui ne demande qu'à sortir depuis de nombreuses années, mais c'est un sujet tellement compliqué... Pendant 10 ans, j'ai vécu un traumatisme profond avec mon ex-conjoint, j'ai vécu l'enfer, avant que mon mari ne débarque dans ma vie et me sauve. Notre histoire commune et individuelle est digne d'un scénario, je le sais, d'autant plus que je suis lourdement handicapée. Et je rêve d'en faire un roman depuis si longtemps, mais je n'ai aucune idée de comment récupérer les éléments les plus importants de tout ce qui s'est passé pour chacun de nous deux (d'autant plus que j'écris de la SFFF en temps normal et que c'est très difficile de sortir de ça).
En tout cas, merci pour ta newsletter, une fois encore, ça ne fait que nourrir un peu plus cette envie...
Peut-être que cette idée est encore dans la catégorie « à laisser mûrir » ?
Et quand tu le sentiras tu pourras te demander : pourquoi sortir de la SFFF pour raconter cette histoire ? N’y a-t-il pas des changements de cadre ou même de perspectives qui pourraient t’inspirer ? 😊
J’y réfléchis depuis des années sans réussir à en tirer quoi que ce soit. Je me dis qu’au bout de 7 ans, ça devrait déjà avoir bien mûri. ^^
Peut-être que je suis trop liée au sujet et que je manque de recul (étant la victime) pour transformer l’histoire. Je ne sais pas…
Malediction du sondage bouclé ! Je re-vote pour les fins ouvertes, même si j’ai beaucoup aimé cette séance de spiritisme. La question d’écrire sur ses proches ou des gens vivants me questionne beaucoup en ce moment. Coïncidence, j’ai lu ceci récemment dans « Le cœur ne cède pas » de Grégoire Bouillier « Coucher les gens sur le papier contre leur gré, ce n’est pas seulement voler leur vie, c’est les coucher dans une tombe qui n’est pas la leur. » le déplacement que tu propose me paraît un chemin de traverse intéressant à explorer.
Merci pour la citation ! Se rajoute aussi la question : doit-on obligatoirement chercher à publier/diffuser ce qu’on écrit sur les autres ?
(Et désolée pour le sondage, cette fois c’est complètement de ma faute 🤭😅)
Merci pour ces conseils, cela m’aide beaucoup qui débute sur substack
De rien, et bon début !